S’il occupe un tiers de notre vie et que nous savons cette fonction biologique vitale, le sommeil (dont le rêve) reste encore un mystère et la communauté scientifique débat toujours sur sa ou ses fonctions précises. L’analyse des rêves peut-elle prédire le passage à l’acte suicidaire ?
Troubles du sommeil et suicidalité – Une analyse longitudinale d’une étude communautaire représentative sur 30 ans Lire ici
Devant. Psychiatrie, 16 juillet 2018 Sect. Troubles du sommeil Volume 9 – 2018
Une courte durée de sommeil et une mauvaise qualité de sommeil prédisent les idées suicidaires du lendemain : une étude d’évaluation écologique momentanée Lire ici
Cambridge University Press: 26 avril 2018
Mauvais rêves et cauchemars précédant les comportements suicidaires Lire ici
Geoffroy PA, Borand R, Ambar Akkaoui M, Yung S, Atoui Y, Fontenoy E, Maruani J, Lejoyeux M. Bad Dreams and Nightmares Preceding Suicidal Behaviors. J Clin Psychiatry. 2022 Nov 23;84(1):22m14448. doi: 10.4088/JCP.22m14448. PMID: 36416752.
Au printemps 2021, un rapport sur les statistiques des décès en France fait état de défaillances dans l’établissement des statistiques sur les causes médicales de décès et liste plusieurs rapports rédigés à la demande de l’administration par trois inspections générales :
L’Inspection générale des affaires sociales (IGAS),
L’Inspection générale de l’Insee
L’Inspection générale de l’éducation du sport et de la recherche (IGESR).
Les administrations destinataires de ce rapport ont alors mis en place un projet auprès du directeur de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), en étroite collaboration avec le Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (InsermCépiDc). Ce projet se décline en deux grands objectifs.
À court terme, le rattrapage des délais de production des statistiques sur les causes de décès doit permettre de mettre la France en conformité avec les obligations européennes et d’éclairer les autorités sanitaires sur les impacts de la crise liée au Covid-19
À moyen terme, l’objectif est l’amélioration des différentes étapes nécessaires au suivi des causes de décès, depuis la rédaction du certificat par le médecin jusqu’à la mise à disposition des chiffres. Le but est ici d’améliorer la précision et la vitesse de mise à disposition des données, et de favoriser la diversification de leurs usages.
Certaines de ces évolutions s’appuieront sur les travaux récemment menés par le CépiDc de l’Inserm pour améliorer sensiblement la proportion de certificats de décès codés automatiquement
Des moyens permettant le recrutement récent de codeurs médicaux et nosologistes supplémentaires ont été dégagés. L’accélération du déploiement de la certification électronique, impulsée par la pandémie de Covid-19, a été confortée par l’instauration, d’un décret prenant effet au 1er juin 2022 obligeant les établissements de santé publics et privés et les établissements médico-sociaux à utiliser ce mode de transmission, le recours au certificat papier devant devenir exceptionnel (décret n° 2022-284 du 28 février 2022 relatif à l’établissement du certificat de décès).
Une hausse de la certification électronique est partiellement attendue à l’occasion de la mise en production d’une nouvelle version de l’application de certification électronique à l’automne 2022. Cette application permettra d’interagir avec le médecin certificateur pour lui faciliter la déclaration d’une information précise et rapidement exploitable
Ce projet de refonte générale des statistiques sur les causes médicales de décès, ainsi que l’augmentation du codage automatique et de la transmission électronique des certificats, devraient contribuer à améliorer la qualité des données concernant l’ensemble des décès – en particulier ceux par suicide – tout en accélérant leur mise à disposition, ce afin d’alimenter le pilotage de la prévention du suicide. Par ailleurs, le nouveau certificat de décès, entré en application au 1er janvier 2018 mais dont le déploiement a été progressif, contient des rubriques nouvelles ou modifiées et devrait également contribuer à améliorer la mesure. Règlement (UE) n° 328/11. 25 . En particulier, une rubrique sur les circonstances apparentes du décès, parmi lesquelles figure lesuicide, a été ajoutée pour inciter les médecins certificateurs à limiter les ambiguïtés en cas de mort violente. Un contrôle qualité et une expertise de ce nouvel élément et de ses implications sur le comptage des décès par suicide est actuellement en cours à l’Inserm-CépiDc.
Enfin, depuis le 1er janvier 2018, un volet complémentaire doit obligatoirement être renseigné, en cas de recherche médicale ou médicolégale de la cause de décès, ce qui est une situation courante en cas de suicide. Le remplissage de ce volet complémentaire reste aujourd’hui limité, malgré une campagne d’accompagnement et de communication auprès des instituts médicolégaux par l’Inserm-CépiDc. Dans l’attente de ces progrès et afin d’assurer une surveillance réactive des décès par suicide, Santé publique France et l’Inserm-CépiDc ont développé un algorithme de reconnaissance des suicides pour documenter l’évolution temporelle de ce type de décès lors de la pandémie de Covid-19 en France (fiche 1). Cet algorithme ouvre des perspectives intéressantes pour des travaux futurs et pour une surveillance réactive des décès par suicide.
Une autre recommandation du précédent rapport de l’ONS portait sur la nécessité d’améliorer le codage des tentativesde suicide dans les données hospitalières (programme de médicalisation des systèmes d’information [PMSI]), dont la fiabilité a été questionnée par les experts. Une recherche visant à évaluer la qualité de ce codage a ainsi été lancée en septembre 2021. Ce projet, en cours, se focalise sur les tentatives de suicide ayant conduit à un passage à l’hôpital (urgences, soins intensifs, psychiatrie), et notamment sur les données médico-administratives issues de ces passages. Il étudie le niveau de fiabilité des données administratives relatives aux gestes auto-infligés (évaluation du nombre et du taux de lésions auto-infligées non codées, du nombre et du taux de codages erronés au regard des données des dossiers médicaux) afin, d’une part, de déterminer un facteur de correction aux données médico-administratives quand elles sont utilisées à visée épidémiologique et, d’autre part, de suivre l’évolution de la qualité des codages suivant une méthode robuste et réplicable. Cette étude pilote, menée au CHU de Dijon et au centre hospitalier spécialisé (EPSM) La Chartreuse de Dijon, permettra notamment de faire ressortir des premiers éléments sur les problèmes méthodologiquesou organisationnels rencontrés, et sur les moyens nécessaires à la construction d’une méthodologie applicable en pratique à un grand nombre d’établissements, grâce à des ressources optimisées.
Le cas des suicides professionnels
Depuis le précédent rapport, les travaux sur les possibilités de mieux connaître les suicides liés au travail et sur l’analyse statistique des gestes suicidaires selon la situation professionnelle des personnes ont également avancé. L’exploitation de l’EDP-santé, déjà évoquée plus haut, permet de documenter, de façon inédite, les caractéristiques sociodémographiques des personnes hospitalisées pour tentative de suicide (fiche 17). De même, une étude expérimentale conduite avec huit instituts de médecine légale, qui fait suite à une recommandation du premier rapport de l’ONS en 2014 et dont la méthodologie a été présentée dans le quatrième rapport paru en 2020, établit qu’environ un décès par suicide sur dix a été identifié comme étant en lien potentiel avec le travail. Parmi les personnes dont on savait qu’elles occupaient un emploi, le travail semble avoir joué un rôle dans le geste suicidaire dans 42 % des cas (fiche 18 du 5ème rapport ONS). Cette étude émet des propositions pour mettre en place un système de repérage des suicides en lien avec le travail à partir des informations détenues par les instituts médicolégaux (IML)
SUICIDE : Mesurer l’impact de la crise sanitaire liée au Covid-19
Ce cinquième rapport traite des conséquences de la crise sanitaire liée au Covid-19 sur les conduites suicidaires. Il fait état de travaux initiés dès le début de la pandémie et conduits pendant presque deux ans.
De la bouche à l’oreille, d’un réseau à un autre, entre ami.e.s, collègues, famille, les fêtes de fins d’année sont un temps propice pour prendre soin les uns des autres, et ouvrir la parole sur un sujet douloureux mais encore tabou. En parler, donner à lire, c’est déjà faire de la prévention.
Merci à Jean-Michel GRANDSIRE, éditeur (JMG Éditions) du livre “Vivre?” , d’avoir offert une belle visibilité à mon projet, sur sa revue trimestrielle Parascience n°127 (que je ne peux que vous encourager à acquérir -pour vous ou pour offrir- en cliquant sur ce lien https://jmgeditions.fr/produit/parasciences-127/ )
Vous pourrez y lire l’article que j’ai consacré au projet RD Supreniro, portant le titre évocateur : “EMI ET CULTURE DE PRÉVENTION DU SUICIDE : UN ART DE VIVRE AU 21ème SIÈCLE”
Ce projet existe au bénéfice de tous, et perdurera grâce à vous . Merci de votre soutien !
Lorsque l’expérience de mort imminente est partagée simultanément par des personnes, présentes au chevet du mourant, qui sont elles tout à fait en vie, et qui témoignent avoir vécu les critères d’une EMI (selon l’indice WCEI), comment ne pas confondre notre scepticisme à cette réalité objective ?
Est ce que le phénomène des EMI partagées, est le sésame qui permettra de démontrer la réalité d’un état de conscience non localisé dans le cerveau ?
Pour être considérée scientifiquement, une expérience se doit d’être reproductible et observable. L’étude expérimentale de la conscience se heurte à la difficulté d’étudier du subjectif (expérience individuelle) par de l’objectif (observateur). Si les témoignages d’expériences de mort imminente sont pris au sérieux par les neuroscientifiques, les médecins, ceux-ci n’en demeurent pas moins des témoignages de phénomènes extraordinaires individuels, non explicables dans l’état actuel de nos connaissances, à part la conséquence d’une biochimie particulière aux frontière de l’état de mort. Mais les témoignages de plus en plus nombreux d’EMI partagées pourraient bien confondre notre incrédulité…
Incroyables NDE partagées,
par Jocelin Morisson, journaliste scientifique, revue Nexus janvier février 2011
Un médecin témoigne de l’expérience de mort imminente partagée qu’il a vécu
Interview du docteur Jean-Pierre POSTEL par l’Institut Suisse des Sciences Noétiques – Un médecin témoigne de l’expérience de mort imminente partagée qu’il a vécu simultanément avec sa femme (médecin) et leur fils (infirmier) alors qu’ils sont au chevet d’un proche mourant.
Enquête de Marie Choquet, épidémiologiste, et Xavier Pommereau, psychiatre
« Les élèves à l’infirmerie scolaire », enquête menée auprès de 21 établissements scolaires de Gironde (8 collèges, 8 lycées d’enseignement général, 5 lycées d’enseignement professionnel) comprenant deux parties principales : 1°/les consultants de l’infirmerie scolaire ; 2°/les suicidants à l’infirmerie, le présent document ne détaillant que cette dernière partie. L’enquête a inclus près de 1000 élèves âgés de 11 à 21 ans. Elle s’est déroulée en mars et avril 2000.
Dans le cadre de son projet pédagogique global, RD Supreniro propose d’établir un lien numérique, entre le livret scolaire traçant les séances du plan de formation suivies durant le cursus étudiant de 7 ans à 25 ans, et l’application “Mon espace santé”, dans le but d’établir l’influence d’une culture de prévention du suicide dès l’enfance, sur le taux de tentatives de suicide tout au long de la vie.
D’après un article de Pascal le Maléfan – janvier 2018
RD Supreniro vous partage un article très intéressant de Pascal le Maléfan(Psychologue, Psychanalyste, Professeur de psychologie clinique, université de Rouen) qui pose un corollaire entre EMI et récidive de l’acte suicidaire.
La clinique des suicidants rapportant avoir vécu une expérience de mort imminente, n’étaye pas de théorie selon laquelle “vivre un état de mort” protégerait de la récidive, cependant certains expérienceurs reconnaissent que ce vécu subjectif a redonné un sens à leur vie.
Mieux connaître la conscience, à travers les témoignages d’expériences de mort imminente, les recherches expérimentales, peut-il participer à la prévention du suicide, avant même toute première tentative ?
Dans ce reportage, les éclairages des spécialistes font échos aux témoignages d’hommes et de femmes qui ont tenté de mettre fin à leurs jours mais aussi de personnes qui ont perdu un proche à la suite d’un suicide.
La Miviludes observe et analyse le phénomène sectaire, coordonne l’action préventive et répressive des pouvoirs publics à l’encontre des dérives sectaires, et informe le public sur les risques et les dangers auxquels il est exposé. Accès au site ICI
La France devient le 10 juillet 2019 le 56éme pays à interdire les châtiments corporels sur les enfants
Le 119, c’est le numéro gratuit d’aide pour les enfants en danger
Contenus de la page
Un projet de loi voté presque à l’unanimité.
Depuis deux siècles en France, la chambre criminelle de la Cour de cassation reconnaissait aux parents et aux éducateurs un « droit de correction ». En 1958, le droit de correction paternel a été supprimé du Code civil, cependant, la jurisprudence du droit de correction coutumier a perduré.
Après avoir été condamné par le Conseil de l’Europe en 2015 pour ne pas avoir encore interdit les châtiments sur les enfants (Violences, fessée, gifle, tirage d’oreilles…), le Parlement français a adopté la loi relative à « l’interdiction des violences éducatives ordinaires » le 10 juillet 2019
« L’enfant a droit à une éducation non violente. Aucun enfant ne peut être soumis à des châtiments corporels ou à toute forme de violence physique ».
Le texte de loi sur l’interdiction des violences éducatives ordinaires est adopté à main levée à l’unanimité le 10 juillet 2019. Il est inscrit dans le Code civil, à l’article lu à la mairie lors des mariages, que “l’autorité parentale s’exerce sans violences physiques ou psychologiques”.
Un bilan accablant
Le secrétaire d’État comme la plupart des orateurs ont dressé un bilan accablant des conséquences souvent durables des violences exercées sur l’enfant et sur l’adulte en devenir : Baisse de l’estime de soi, augmentation des comportements antisociaux… C’est un facteur de risque de crise suicidaire. En France, un enfant entre 5 et 14 ans met fin à ses jours tous les 12 jours environ.
Risques en cas de non respect de la loi :
la loi ne concerne que les titulaires de l’autorité parentale, ainsi que les assistantes maternelles. Toutefois, si ce droit n’est plus reconnu aux parents, il ne doit donc plus l’être aux autres adultes.
Être signalés à la police,
Les services sociaux peuvent retirer la garde de l’enfant,
Prescription d’un stage ou d’une formation (par exemple, stage de responsabilité parentale),
Réparation du dommage subi,
Mesure d’éloignement,
Cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende dans les cas les plus graves.
Reportage de Cécile Bidault de France Bleu Nord. (29/03/21)
Le CHU de Lille a été choisi par le gouvernement pour coordonner la création du futur numéro national de prévention du suicide. Un numéro de téléphone qui sera activé le 10 septembre 2021. Il pourra être appelé par des personnes qui ont des idées suicidaires, et leur entourage.
Les salles de cinéma rouvrent en ce 19 mai 2021, et c’est avec enthousiasme que j’ai pris mon billet pour voir le dernier film d’Albert DUPONTEL « Adieu les cons ».
Quelle ne fut pas ma stupéfaction aux dernières images du film !
J’ai quitté la salle, encore plus déterminée à œuvrer au développement d’une culture de prévention du suicide !
Au printemps 2022, Santé publique France lancera, avec l’appui des
ministères chargés de la Santé et de l’Éducation nationale et des acteurs
agissant auprès des enfants et des jeunes, une enquête visant à produire des
indicateurs de santé mentale chez les enfants de 3 à 11 ans en France
métropolitaine et dans les DROM.
Crédits Pixabay
Source site Santé Publique France – En lire plus ici
Ce dispositif d’accompagnement psychologique* dans le contexte de la crise sanitaire, s’adresse aux mineurs.
Il s’agit de la prise en charge financière de dix séances chez un psychologue, pour les enfants de 3 à 17 ans. Les professionnels de l’enfance alertent sur la hausse des pensées suicidaires dans cette catégorie de la population. Emmanuel Macron a annoncé ce plan de prévention destiné à faire le point et traiter les troubles psychiques liés à la crise sanitaire de la Covid-19. Source France Info du 04/05/2021
Des professionnels de santé alertent sur la hausse importante des primo consultations pédopsychiatriques, dans le contexte de la crise sanitaire. Comment accompagner ces jeunes, pour qu’ils fassent le choix de vivre, malgré l’isolement, la rupture avec le cercle amical, l’anxiété de transmettre le virus à leurs proches, l’arrêt des activités culturelles et sportives ? Comment redonner du sens au quotidien ?
Image extraite du livret d’accueil du Pôle Universitaire de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent (PUPEA)
Bordeaux : flambée des hospitalisations de jeunes adolescents en psychiatrie à Charles-Perrens
Derrière l’épidémie, il y a un continent caché : la souffrance des plus jeunes. Pour les accompagner, nous allons lancer le forfait 100 % psy enfant pour leur permettre de consulter sans frais un psychologue. Pour eux, pour leur famille.
La pandémie de Covid-19 exacerbe certains facteurs de risque des crises suicidaires, et les associations d’écoute ainsi que les professionnels de santé alertent sur l’effet rebond auquel il convient peut-être de s’attendre sur les mois à venir.
La pandémie de Covid-19 exacerbe certains facteurs de risque des crises suicidaires, et les associations d’écoute ainsi que les professionnels de santé alertent sur l’effet rebond auquel il convient peut-être de s’attendre sur les mois à venir. Cependant, en l’absence de données randomisées, il est impossible d’établir un prévisionnel, d’autant plus que dans le contexte d’urgence sanitaire mondial, les ressources cliniques et économiques sont prioritairement investies dans les secours de première urgence. Bien que la situation mondiale soit anxiogène, touchant toutes les populations, tous les âges, il convient de considérer que, compte tenu de – la fermeture des écoles, le télétravail, le chômage partiel – les facteurs de risque liés aux harcèlements scolaires, à l’épuisement professionnel et le stress associé à l’insécurité économique sont régulés en France. Il convient d’être extrêmement prudent avec un modèle prévisionnel qui ne retient que les facteurs de risque sans tenir compte des facteurs de compensation. Certes, le confinement prolongé, l’isolement, la perte de liens sociaux, la distanciation sociale, la perte d’emploi liée à la pandémie, le stress des professionnels en première ligne, peuvent impacter la santé mentale. Le deuil d’un proche, auquel s’ajoute parfois la douleur de ne pas avoir pu l’accompagner en réanimation, ou de ne pas avoir pu assister à ses obsèques du fait des restrictions sanitaires, renforce la détresse contextuelle. Cependant, nombreux sont ceux qui ont pu à cette occasion, découvrir que l’on pouvait apprendre à vivre autrement. Il est fait de plus en plus mention d’un « monde d’après », l’inconscient collectif se prépare déjà à un changement de paradigme. Il semble que cette pandémie nous ait donné un regard nouveau sur l’essentiel, sur le sens de la vie. D’une absence de connaissance du virus, de son vecteur de transmission, face aux normes sanitaires imposées et jugées le plus souvent inadéquates et disruptives, face aux protocoles thérapeutiques décriés et contestés, l’on assiste progressivement, à une volonté de plus en plus marquée de vivre autrement. Ainsi, faire le choix de vivre, repose chaque jour sur la certitude que nos espoirs de vaincre la souffrance physique et/ou morale est possible. C’est ce « possible » que je souhaite vous soumettre, à travers mon engagement dans le développement d’une culture de prévention du suicide.
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